Espace Pro

PoP

crédit photo Winona

Dans une fusion moderne du jonglage sportif contemporain, notre performance se dévoile telle une symphonie à quatre mains sans piano. Portés par une énergie singulière, et une belle complicité, notre duo a sillonné avec succès une belle tournée de 80 dates depuis 2023, une aventure intense et exaltante. Un spectacle de 45 minutes, dénué de texte, où la simplicité technique s’unit à l’art du comique, se jouant presque partout, pour un public sans limite.
Le jonglage est à PoP ce que le beurre est au kouign amann: indispensable.
                                                                                   
Nous incarnerons la grâce des ramasseurs de balles de Roland Garros. Ça n’aura pas plus d’impact que d’aller sur Mars mais nous ferons de notre mieux pour marquer vos esprits.

PS: Vous aussi vous avez toujours eu envie de regarder à l’intérieur de la casserole quand le pop corn PoP?

durée 45 minutes, sans paroles, 7×6 mètres

Compagnie Bonhomie feat Compagnie t’as pas dit balle 

captation disponible sur demande

photo en hd en cliquant par là

Dossier artistique PoP 2024 photos par ici

atelier de 20 min

Ouverture facile

Nous développons actuellement un projet artistique qui combine représentation théâtrale et convivialité culinaire. L’événement se déroule en deux temps : d’abord un spectacle, puis un banquet partagé avec l’ensemble des spectateurs. La préparation du repas se fait en collaboration avec les habitants bénévoles de la commune qui nous accueille.

synopsis: Bébert est souvent le lapin dans les phrases..dans les phares.

Un solo qui prend forme… enfin, qui tente, qui esquisse, qui crayonne l’idée avant de la laisser en plan, histoire de voir si ça repousse. Un spectacle prêt en 2000 quelque chose, mais ne précipitons rien, sauf si la pluie s’en mêle. Ce sera du lancer de palet, comme un jet de vérité brute. Pour enfoncer des portes ouvertes et les refermer après, par politesse, comme une ouverture facile.

Une massue à facettes vissée à l’intelligence des mains – ce qui, reconnaissons-le, est plus utile qu’une intelligence des coudes, sauf peut-être pour un joueur de rugby. Des carottes tranchées à l’aveugle, mais avec précision, comme un chef étoilé qui joue à 1,2,3 soleil avec la lumière de son frigo.

Et du jonglage, du vrai, du mouvementé, avec des balles qui s’élancent, qui hésitent entre l’apesanteur et la désobéissance civile. Un ballet orchestré par une architecture du geste, où chaque trajectoire est un choix et chaque rattrapage une seconde chance.

Au milieu de tout ça, un clown et son bourreau, plongés dans une discussion existentielle : faut-il mourir de rire ou en rire avant de mourir ? Le clown veut croire que l’ironie sauvera le monde, son bourreau lui rappelle que l’ironie a rarement arrêté une lame en plein élan. Promesse d’un débat intense.

Et puis, le cinéma hollywoodien passé sous stéthoscope. On écoutera les palpitations d’un blockbuster sous adrénaline, le souffle court d’un film d’auteur en apnée et la respiration haletante d’un scénario qui court après sa propre logique.

Mais surtout, cette question fondamentale : pourquoi les gens remettent-ils des allumettes carbonara dans la boîte ? Est-ce un hommage discret à leur passé flamboyant, ? Une seconde chance offerte à ce qui a déjà brûlé ? Ou simplement une manière détournée de dire que même les choses éteintes méritent encore une place ? Bébert est souvent le lapin dans les phrases..dans les phares.

Un solo qui ne promet rien… sauf peut-être de poser les bonnes questions.

Dossier en cour de production

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